Avril 2011
Mardi 31 mai 2011, par
Santé et questions sanitaires
Des médecins membres de l’Association Santé Environnement France se sont intéressés aux conséquences de la précarité énergétique sur la santé des occupants d’un logement mal ou peu chauffé.
Ces conséquences sanitaires sont notamment : des risques accrus d’intoxication au monoxyde de carbone et d’incendie (dues à l’utilisation de méthodes alternatives de chauffage et d’éclairage), qualité de l’air détériorée et taux d’humidité augmenté (dus au colmatage des fenêtres et fermeture des dispositifs d’aération), risques d’intoxication alimentaire (dus à l’absence de possibilités de réfrigération et/ou de cuisson des aliments), impact sur la santé mentale des résidents (rupture de liens sociaux, isolement…).
Des pathologies développées, bien entendu, par les ménages plus défavorisés ou modestes vivant dans des logements vétustes, délabrés et mal isolés – 55% d’entre eux ont plus de 60 ans, ce qui accentuent la gravité des pathologies développées.
Lire l’article sur le site de l’Association Santé Environnement France.